Accueil » DDG Project et Lee John : Quand Deux Légendes Se Rencontrent sur « Sexy City Lights »

DDG Project et Lee John : Quand Deux Légendes Se Rencontrent sur « Sexy City Lights »

par Najat
219 vues
Un plan complet en noir et blanc de Davide De Gregorio en concert, chantant et jouant de sa guitare acoustique sous des projecteurs intenses.

Vous cherchez un nouveau single qui sort vraiment des sentiers battus ? Celui qui mélange la soul britannique, le cinéma et une vision musicale sans frontières ? Accrochez-vous, parce que DDG Project vient de frapper fort avec « Sexy City Lights », un titre événement en featuring avec Lee John, l’icône d’Imagination. Ce n’est pas qu’une simple chanson. C’est une expérience totale, un mini-film, un manifeste artistique.

Davide De Gregorio, l’homme derrière DDG Project, n’en est pas à son coup d’essai. Rolling Stone Italie le surnomme « l’Italien qui a le monde dans la tête ». Entre Rome, Londres, Moscou et Bogotá, ce citoyen du monde a collaboré avec des pointures : Josh Dunham (Prince), Giovanni Hidalgo, Cora Coleman (Beyoncé). Mais cette fois, c’est avec Lee John, légende de la soul aux 30 millions d’albums vendus, qu’il signe un duo aussi puissant qu’inattendu.

Un projet musical qui transcende les genres

Avec DDG Project, on ne parle pas juste de musique. On parle d’un univers où le son, l’image et le message se fondent. « Sexy City Lights » est le dernier chapitre d’un court-métrage en cinq parties baptisé « NOTES », qui explore des thèmes comme la violence domestique, la rédemption, la dualité intérieure. Chaque morceau de l’EP devient un mini-film. Imaginez Scorsese et Damon Albarn dans un studio, avec un message qui claque. Vous pouvez retrouver le communiqué complet ici pour plonger dans les coulisses de ce projet hors normes.

L’EP NOTES sortira mondialement le 25 août 2025, premier chapitre d’un album en deux volets. Et son agence de relations presse a mis le paquet en choisissant de mettre en avant cette fusion entre musique et cinéma. Pour écouter le nouveau titre DDG, direction Spotify ou YouTube. Mais attention, ce n’est pas qu’une écoute passive, c’est une vraie immersion.

Le court-métrage « NOTES » rend hommage aux grands films de boxe et de transformation : Raging Bull, Fight Club, Rocky. Mais au-delà de l’esthétique, il y a un message qui tape fort : Stop à la violence domestique. DDG Project utilise la musique et l’image pour raconter des histoires qui résonnent, qui dérangent parfois, mais qui ne laissent jamais indifférent.

Leee John : une légende qui sublime le duo

Pourquoi Lee John ? Parce que ce mec, c’est une institution. Chanteur du groupe Imagination, il a vendu plus de 30 millions d’albums dans les années 80 et 90. On l’a récemment vu chez Gorillaz aux côtés d’Elton John et Robert Smith (The Cure). Il sait ce que c’est que de porter une chanson avec présence et émotion.

Sur « Sexy City Lights », Lee John apporte cette touche de soul britannique intemporelle qui manquait peut-être à l’univers électro-rock de DDG Project. Leur duo vocal est une vraie rencontre : les deux voix se cherchent, se répondent, se complètent. C’est sensuel, réflexif, lumineux. Ce nouveau single DDG avec Lee John prouve qu’on peut mélanger les genres, les générations, les continents, et créer quelque chose d’universel.

Le microphone est prêt : la scène est chauffée pour la prochaine performance de Davide De Gregorio.

Un clip qui raconte une histoire

Dans le clip, cette collaboration musicale prend encore plus de sens. Les images, les couleurs, l’atmosphère : tout est pensé pour raconter une histoire. On est loin du clip formaté où l’artiste chante devant un fond vert. Ici, chaque plan est travaillé comme une scène de film. C’est ça la force de DDG Project : transformer une sortie single en événement culturel.

Le dernier chapitre du film met en scène Lee John dans une confrontation vocale et visuelle qui donne au titre une portée universelle. C’est le moment où la lumière émerge de l’obscurité, où la rédemption devient possible. Les voix se rejoignent pour dire quelque chose qui dépasse les frontières.

L’anti-genre comme manifeste artistique

DDG Project se revendique de « l’anti-genre ». Refus total d’être enfermé dans une case. Pop, rock, électro, acoustique, atmosphères cinématographiques : tout se mélange. C’est un laboratoire sonore où l’expérimentation côtoie la mélodie, où chaque chanson devient un acte narratif et visuel. Ses influences ? Beck, Damon Albarn, Dave Stewart, Moby, mais aussi Martin Scorsese et Sergio Leone.

Cette approche hybride fait écho à une vision musicale sans frontières, où l’art n’a ni passeport ni étiquette. Davide De Gregorio a tourné avec Max Gazzè et Edoardo Bennato, a composé pour les Nations Unies (FAO, Journée mondiale de l’eau), a joué au Circus Maximus à Rome et à Moscou avec David Duchovny. Son parcours ? Une odyssée entre les continents, les cultures, les disciplines.

C’est cette liberté totale qui transpire dans NOTES. Pas de compromis, pas de format radio obligé, pas de stratégie marketing lisse. Juste de l’art, de la sincérité, de l’engagement. Un pari risqué ? Peut-être. Mais c’est aussi ça qui fait la différence entre un artiste et une machine à tubes.

Une œuvre totale qui brouille les frontières

Avec NOTES, DDG Project franchit un cap. Il ne s’agit plus seulement de sortir un album, mais de créer une expérience immersive où la musique et le cinéma se fondent. Chaque morceau de l’EP est décliné en court-métrage, formant ensemble une fresque émotionnelle puissante. On y parle de violence domestique, de rédemption, d’introspection, de dualité intérieure. Des thèmes lourds, traités avec poésie et humanité.

Le projet « NOTES » s’impose comme un hommage au cinéma de boxe et de transformation, tout en assumant un message fort. Cette dimension engagée donne à l’ensemble sa profondeur et son authenticité. DDG Project ne se contente pas de faire de la musique pour faire de la musique. Il crée des œuvres hybrides qui secouent, qui questionnent.

Comment écouter et découvrir le projet

Pour écouter le nouveau titre DDG, direction Spotify, Apple Music ou YouTube. Le clip « Sexy City Lights » est disponible sur YouTube et vaut vraiment le détour. Mais si vous voulez vraiment comprendre la profondeur du projet, plongez dans l’univers complet de NOTES. Laissez-vous embarquer dans cette fusion d’images et de sons.

Ce nouveau single DDG avec Lee John mérite qu’on s’y attarde, qu’on le découvre dans son intégralité, qu’on prenne le temps d’en saisir toutes les subtilités. C’est le genre de projet qui se savoure, qui se regarde autant qu’il s’écoute.

Pourquoi ce projet mérite toute votre attention

Parce qu’il incarne ce que la musique devrait être : libre, engagée, sincère. Parce qu’il refuse les conventions et les formats tout faits. Parce qu’il prouve qu’on peut encore créer des œuvres qui ont du sens, qui portent un message.

DDG Project et Lee John nous offrent avec « Sexy City Lights » bien plus qu’un simple featuring. Ils nous offrent une vision, un manifeste, une déclaration d’indépendance artistique. Dans un monde où tout se ressemble, où la musique est souvent formatée pour les algorithmes, ça fait du bien de voir des artistes qui osent encore. Des artistes qui considèrent leur travail comme un art total, où la création musicale rencontre le réalisme poétique et l’engagement social.

Alors, prêts à plonger dans cet univers ? À découvrir cette sortie single qui ne ressemble à rien d’autre ? À soutenir une vision musicale sans frontières portée par deux légendes ? Foncez. Parce que des projets comme celui-là, on n’en voit pas tous les jours. Ce serait dommage de passer à côté de cette rencontre entre deux univers, deux générations, deux manières de faire de la musique qui se rejoignent magnifiquement.

Facebook Comments

Vous pouvez également aimer

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire plus

Politique de confidentialité & cookies